Gaël Legoff Diplomé en Architecture d'intérieur et environement
Collaborateur d'architecte au sein de l'agence 3'A Architectes
L'espace vert,
un espace de connexion
*Plan détaillé du mémoire "l'espace vert, un espace de connexion",
complété d'extraits
Introduction
Les territoires prioritaires sont construits, dans les années après-guerre, afin de créer des zones d’interaction sociale entre les différentes populations. cet enjeu est aussi celui développé par les espaces verts. mais aujourd’hui on note que les territoires prioritaires se retrouvent en marge de la ville sans assumer pleinement ce rôle social.
Ainsi, les espaces verts dans des territoires prioritaires peuvent ils être un vecteur de connexion entre le quartier et la ville ?
Partie 01/ entre un idéal et une pratique
1-Définition
1.1 Qu'est ce qu'un espace vert?
Le dictionnaire de la ville et de l’urbain prend en compte une échelle architecturale et sociale pour définir trois grands principes d’espaces verts. Il en ressort cependant que l’espace vert se présente tout autant comme un espace de salubrité sociale qu’un lieu de promenade. D’un point de vue esthétique il est conçu pour le plaisir de l’œil.
1.2 Historique de l'espace vert
La théorie hygiéniste a donc permis de créer des espaces ouverts dans la ville. On est passé d’une ville très concentrée et étroite (villes moyenâgeuses) à une ville qui s’étend sur la campagne environnante tout en libérant des espaces intra-muros en créant des vides qui permettent la libre circulation de l’air et des hommes. « L’espace vert est conçu comme un appareil respiratoire complexe (…). Mis sur le même pied qu’une place, l’espace vert est conçu comme une brèche pratiquée dans la construction urbaine et destinée à l’aérer ». (Bernard Kalaora, « La ville et le bois », « Les salons verts », école Normale Supérieur).
Cet ouvrage met en avant une relation indissociable entre l’hygiénisme et l’esthétisme : « aérer et voir constituent en fait un acte inséparable où, en fin de compte, c’est l’œil qui respire (et non le corps) ».
1.3 Les typologies de ces espaces verts
Les espaces verts se déclinent sous plusieurs formes d’espaces. On peut répertorier trois grands espaces où la végétation et l’agrément les caractérise. Ainsi les parcs, les jardins et les bases de loisir et de plein air répondent à ces critères et on en distingue à travers eux plusieurs formes d’aménagement.
2- Les enjeux de l'espace vert
2.1 Les différents usages des espaces verts: Le cas de la ville de Rennes
Selon la typologie de l’espace vert (parc, jardin et base de loisir et de plein air), différents usages peuvent s’en dégager. Autrement dit, dans ces espaces se dégagent différentes pratiques, manière d’agir qui ne comportent pas d’impératif moral et qui sont habituellement et normalement observés par un groupe social donné. Ces usages peuvent devenir un procédé afin d’obtenir un effet qui permette de satisfaire un besoin : celui de la détente, de la promenade, d’agrément et d’activité.
2.2 L'accessibilité de ces espaces verts
Lorsqu’on évoque un lieu accessible alors on considère une facilité avec laquelle un lieu peut être atteint depuis plusieurs autres. L’accessibilité est liée à l’exercice de la centralité, et se développe généralement en rapport avec elle, grâce à l’aménagement d’infrastructures de communication. On parle alors de qualité de ce qui est accessible.
La limite conditionne l’accessibilité car elle organise l’espace et oriente selon des orientations différentes.
2.3 Le traitement des limites de ces espaces verts
« En ce sens, une forme construite organise, donne des directions et des espacements, infléchit des actions, mobilise des acteurs, tout en leur laissant des marges de manoeuvres ou de conduites et en mettant à l'épreuve leurs compétences (cheminements, conduites, interactions) ». (Grégoire Chelkoff & Jean-Paul Thibaud, « L’espace public, modes sensibles : le regard sur la ville », Les Annales de la recherche urbaine, n° 57-58, Espaces publics, Décembre 1992- mars 1993). Ainsi une frontière ne se dessine pas mais joue de l’activité des individus.
2.4 Une respiration dans la ville
Mais cet espace libre permet de définir des circulations et des fonctions propres aux objets. Il y a donc une simultanéité dans le rôle du vide et de l’objet : la mise en valeur de l’oganisation. On peut donc rapporter ce propos à la ville et au parc. Le vide crée par le parc permet une mise en valeur de l’immeuble, en tant qu’objet, et l’immeuble valorise ce libre espace. Or, d’après Dominique Perrault, « le vide n’est pas rien ».

PERRAULT (Dominique), Bibliothèque National de France, Paris, 1995.
3- Le paradoxe privé/public, individuel/collectif
3.1 L'appropriation de l'espace vert
L’appropriation peut alors se définir comme l’individu qui s’adapte à une fonction, un usage lié à un espace vert particulier. En l’adaptant il rend propre cet espace, c’est-à-dire qu’il l’adapte à soi et, ainsi, le transforme en un support qui serait l’expression de soi. De plus, en prenant compte de l’adaptation dans la définition, il en résulte alors d’une saisie et d’une action sur les aspects matériels et sociaux dans une intention de construction de l’individu.
3.2 L'espace intime dans l'espace vert
On peut donc traduire l’intime comme une prise en compte des sens. La vue traduit un éloignement alors que le toucher traduit une intimité. Un espace intime ne sera pas un espace à l’écart ou fermé du reste mais un espace proxémique physique lié à un usage particulier de l’espace vert.

HALL(Edward T.), La dimension cachée, schéma de principe de la sphère intime.
4- L'espace vert: un espace de rupture du quotidien
4.1 L'expérience sensorielle et personnelle d'un espace
L’extériorisation et le mouvement libre permettent une expérience unique et un rapport privilégié. Le jardin n’impose aucune contrainte, il n’est qu’une représentation citadine de la nature, une entité hasardeuse réduite à l’échelle humaine. Il s’en dégage une expérience sensorielle, tactile et visuelle importante.
4.2 L'espace vert, un espace libre dans la ville
Olivier Mongin s’appuie sur le propos d’Henri Gaudin pour affirmer son discours : « l’espace est un prolongement du corps ». L’individu est donc invité à parcourir l’espace vert, au même titre que l’espace public, pour en ressentir toute son étendue. Le promeneur devient ainsi acteur par sa déambulation et cette déambulation devient l’énigme. Il est soumis aux imprévues et à l’inattendu comme une pièce de théâtre qui met en scène des actes, qui changent à l’arrivée de chaque nouvelle rencontre en créant une zone de friction. La déambulation devient quant à elle la narration de l’œuvre comme peut l’écrire Beaudelaire « Trébuchant sur les mots comme sur les pavés/ Heurtant parfois les vers depuis longtemps rêvés ».
4.3 L'extériorisation de l'individu par l'espace vert
L’espace vert permet une extérioration où le promeneur va chercher une identification auprès de la masse urbaine et sociale. L’individu qui déambule est ainsi amené à s’exprimer, à faire vivre son espace et tous les individus qui s’y trouvent. Quand on sort du privé on est confronté à l’inattendu, c’est-à-dire à la flânerie et à la rencontre.
L'espace vert exprime une rupture et un vide dans le tissu urbain par son ouverture et sa composition, il est même considéré comme la partie non bâtit d'un espace affecté à des usages publics. Il met en tension des paradoxes entre individuel et collectif et des oppositions. "l'un semble vierge de toute intervention humaine par opposition à l'autre dessiné et conçu par l'homme". Cependant la prise en compte du contexte peut paraître importante, notamment dans le cas où il serait situé dans un quartier dit "sensible" qui constitue un territoire en marge. L'espace vert crée une mixité sociale par la rencontre et son ouverture à l'espace limitrophe là où, à l'heure actuelle, les espaces en marge s'enferment dans une dynamique d'exclusion territoriale et sociale.
Partie 02/ les territoires prioritaires
1-Définition
1.1 Qu'est ce qu'une ZAC, Zone d'Aménagement Concertée?
La ZAC est un projet urbain de grande envergure visant à redynamiser un quartier et est d'ordre public. Cependant les ZAC se déclinent sous plusieurs critères d'intervention qui mettent ainsi en place des priorités d'intervention.
1.2 Historique du logement social, précurseur des ZAC
Ainsi, comme le souligne Jean-Marc Stébé dans « Le logement social en France, « le grand ensemble devient à partir du milieu des années 1950, la référence obligée dans la planification et l’aménagement urbain ». Cependant la plupart de ces grands ensembles répondent seulement à la fonction d’habiter et transforme ainsi l’image de ces espaces qui perdent en une quinzaine d’années leur fonction de sas pour devenir des territoires « cul de sac », comme le souligne Jean-Marc Stébé dans "la crise des banlieues".
2- Un quartier "à part" dans la ville
2.1 La typologie sociologique d'une ZAC
En effet l'auteur précise par la suite qu'il y a eu un rejet parfois violent du gigantisme des constructions, la forte densité de peuplement, les détériorations rapides du bâti ou encore la monotonie du cadre de vie. Ce sont ces raisons qui ont fait naître une réputation de foyers générateurs "d'inadaptation" et de "mal vivre" (Jean-Marc Stébé, Le logement social en france, Paris, Que-sais-je?, Puf, Avril, 2011) de ces espaces aménagés en priorité.
2.2 Un espace en dehors de la ville?
Or cette pauvreté enclenche un processus d’exclusion, de replis sur soi où l’individu n’a plus accès à l’espace qui l’entoure: celui de la ville. alors si le quartier, qui implique tous ses habitants et ses infrastructures, ne peut pas venir à la ville, alors la ville, qui comprend la culture et un processus d’intégration, vient au quartier. c’est ainsi, comme l’explique thomas Hirschhorn, que «je dois co-opérer avec la réalité pour la changer. on ne peut pas changer la réalité si on n’est pas d’accord avec elle» (Thomas Hirschhorn, Re, Aubervillier, Inconnu, 2006).
3- L'image associée aux "cités"
3.1 La "cité" vue par ses habitants: un territoire familier
On constate donc que les habitants développent une familiarité avec leur espace et développent des relations sociales fortes entre eux. ils se sont approprié un espace public assez vaste et se sentent ainsi protégés car ils ressentent une certaine maîtrise de celui-ci. les adultes qui s’attachent à la cité se présentent comme la « mémoire » de leur quartier.

ALENCHINSKY (Pierre), Central Park, Acrylique sur papier marouflé sur toile, 162/193 cm, 1965.
Partie 03/ Le cas du Blosne à Rennes, la place des espaces verts
dans la ZUP Sud
1- Présentation de la ZUP Sud
1.1 Un quartier inchangé depuis les années 1980
L’espace vert et l’espace public a donc été pensé pour générer des relations sociales. cependant on peut se demander si ces espaces occupent encore cette fonction aujourd’hui? entre qui créent-ils un « usage social » alors que les politiques se mobilisent aujourd’hui pour lutter contre une stigmatisation et une marginalisation des zones urbaines sensibles?
1.2 La logique d'aménagement du quartier: le partage en îlots
pour une division du quartier
L’architecte Michel Marty a conçu une morphologie urbaine très hiérarchisée en trois niveaux : quartier, mailles et îlots. cette disposition spatiale marque très fortement l’organisation de la vie sociale en unité de voisinage. les îlots sont aménagés sur des parcelles et créent des espaces collectifs par le vide qui en ressort. ce vide est aménagé en espaces verts où des jeux pour enfant sont aménagés. l’îlot est donc un espace quadrillé par des bâtiments, qui formalisent les limites, et qui enferment des espaces collectifs qui se privatisent par cette organisation.
1.3 Une forte représentation des jeunes et des ménages seuls
Le problème de l’isolement des individus n’apparaît pas comme un symptôme essentiellement lié à l’individu mais comme celui d’un espace collectif qui n’assurent plus, ou pas assez, sa fonction. les problèmes économiques accompagnent, voir intensifient, ce phénomène.
2- Les enjeux futurs du quartier du Blosne à Rennes
2.1 Les enjeux urbains du projet de A.Grumbach & Associés au Blosne
L’ambition principale étant de faire de l’agglomération une cité. autrement dit la ville entreprend de rallier le centre avec toutes ses antennes périphériques pour répondre à différentes orientations : lutter contre la ségrégation (sociale et spatiale), renforcer les politiques de développement spatial et urbain dans les quartiers en difficulté par une réhabilitation, revaloriser l’image des communes et bourgs périphériques, permettre la mise en relation des différents quartiers urbains et enfin coordonner les initiatives de développement économique. ces orientations permettront de ne faire qu’un entre la ville et ces espaces périphériques
2.2 Les enjeux sociaux qui se dessinent à travers ce "parcours vert"
L’auteur crée une tension entre l’existence de la ville et le statut de l’individu. le projet d’antoine Grumbach se développe dans ce sens, c’est-à-dire qu’il crée une nouvelle scène, par son projet, où l’individu aura le premier rôle. ce projet sera abouti et cohérent s’il permet la promenade qui sortira l’homme de l’intérieur vers l’espace public.
2.3 Quelle typologie d'espace vert peut répondre à cet enjeu futur?
Antoine Grumbach continue cette démarche en réhabilitant certains parkings semis enterrés (pour créer le marché couvert, par exemple), qui délimitent cet espace vert, pour marquer ce changement d’échelle. par cette réhabilitation, il marque une volonté de valoriser la vie de communauté au détriment d’une théorie fonctionnaliste qui pourrait la limiter. par ce geste il valorise aussi la végétation et démontre qu’il se préoccupe du bien être, vivre et voir des habitants.
Conclusion
Lorsqu'on évoque un espace vert comme un "poumon" de la ville, on veut alors signifier qu'il est un moteur spatial important. Il offre ainsi la possibilité de se défaire d'une réalité que l'individu peut chercher à fuir et offre une nouvelle image. (...) En plus d'être une réponse spatiale concrète à la mixité sociale et urbaine, cet espace se veut être une représentation ambitieuse d'une qualité de vie. L'espace vert est donc un lieu polyvalent qui peut résoudre spatialement des problèmes d'ordre social et urbain.
Gaël Legoff
3.2 La "cité" vue par les citadins: une mauvaise image de marque
Ces grands ensembles dégageaient une image de progrès et de modernité (avec notamment l’eau chaude, les pièces d’eau, etc), un souci du bien vivre dans un cadre qui se devait être un lieu de promotion et de mixité social. mais ces espaces sont vite devenus « le nucleus persistant de la population des grands ensembles, en raison de la désertion ou plus exactement du bref passage de la classe moyenne dans l’habitat social» (Jean-Marc Stébé, La crise des banlieues, Paris, Que sais-je?, Puf, Juin 2010). Et c’est à ce moment-là qu’un sentiment de ségrégation social s’est développé pour ces habitants en périphérie des villes.
3.3 Les Territoires Prioritaires à Rennes et leurs images
Le simple alignement d’immeubles sociaux réveillent les fameuses « légendes urbaines », c’est-à-dire parler d’un quartier sensible comme une « zone de non-droit ». cependant s’il n’y a pas d’interaction entre ces différents habitants, il sera difficile de changer l’image de chaque quartier.
Les territoires prioritaires sont définis comme des espaces qui « accumulent des handicaps », que ce soit sur le plan sociologique, économique, esthétique et lié à l’image. Ce constat tend parfois à s’opposer à l’avis des habitants de ces quartiers, notamment pour le cas du quartier du Blosne à Rennes. Ce quartier, qualifié de ZUS (zone urbaine sensible) et ZRU (zone de redynamisation urbaine), présente des handicaps qui le met en marge de la ville.

Quartier du Blosne aujourd'hui, dessiné par Michel Marty dans les années 1960.
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HALL (Edward T.), La dimension cachée, Paris, Ed. du Seuil, 1971.
HIRSCHHORN (Thomas), Re, Aubervillier, inconnu, 2006.
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KALAORA (Bernard), La ville et le bois, Chap. Les salons verts, Ecole Normale Supérieur, 2011.
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FLEURY (Karine), 1970-2011: du Blosne aux espaces partagés, les étapes de la reconquête de l'espace public à Rennes, Conférence au Centre de l'Information et de l'Urbanisme, Novembre 2011.

Pierre Alenchesky sur papier marouflé sur toile, 162/193 cm, 1965.

Dominique Perrault, Bibliothèque François Mitterand, Paris, 1995.

Edward T. Hall, La dimension cachée, schéma de principe de la sphère intime.

Quartier du Blosne aujourd'hui, dessiné par Michel Marty dans les années 1960.